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Format numérique Résumé de l'éditeur Bamboo
À la Belle époque, elles détiennent deux armes d’exception : la
beauté et l’argent. 1896. Le corps d’un riche industriel est
découvert à bord d’une goélette, échouée dans la...
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Une histoire en un tome, née de l'association entre Philippe Pelaez & Alexis Chabert, se déroulant à la Belle Epoque, sous format de carte postale, ou un peu comme une peinture en aquarelle avec un dessin très caractéristique à la bande dessinée. Un meurtre, un inspecteur, des femmes, des différences de classe sociale. Le tout est séparé en 3 chapitres, chacun avec une belle représentation et un extrait glaçant émanent de "Quelques lances rompues pour nos libertés (1910)" de Nelly...
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Sombre affaire que ce meurtre perpétré sur un voilier désormais échoué mollement sur le sable de la baie de Somme. Quels mobiles auraient pu conduire le ou les coupables à vouloir supprimer ce riche industriel dont les affaires étaient florissantes, et qui avait le souci du bien-être de ses ouvriers. Une exception en ce tout début de vingtième siècle.
L'enquêteur chargé de l'investigation est un homme torturé par ses propres démons, ceux qui les hantent sont liés à la mort de sa fille, violée...
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La couverture inspirée des affiches d'Alphonse Mucha fige d'emblée l’album dans la Belle Epoque. C’est 1896, et une goélette est échouée sur les sables de la baie de Somme. Dans son ventre, un moribond qui, avec ses dernières forces, laisse un message écrit en sang. C’est Alexandre de Breucq “le plus prometteur, le moins corrompu et le plus social de nos industriels”. Qui aurait pu tuer cet homme, et pourquoi? “Automne en baie de Somme” est un polar à l'ancienne, ou chaque personnage a des...
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