Rondouillard, naïf et sympathique, l'Agent 212 est la cible de tous les ennuis et de toutes les mésaventures auxquels un agent de police peut se trouver exposé. Délinquants, conducteurs imprudents ou suicidaires obstinés se succèdent, pour la plus grande joie des lecteurs et de ses auteurs, Kox et Cauvin.

Brigade désopilante !Sur terre, dans les airs ou sur les flots, ce vaillant planton veille ! Planche à roulettes, rollers, trottinette... rien ne l'arrête pour voler plus vite vers le danger. Qu'il faille secourir un chat, affronter un cracheur de feu, retrouver un boa, arrêter un trapéziste, sauver des poules ou rattraper un voleur, ce flic au grand coeur (et au gros ventre) est toujours prêt à intervenir... au péril de son uniforme et de son honneur.22, v'là le poulet !Depuis 22 albums déjà, Cauvin et Kox nous régalent des avatars du policier le moins doué de la BD. Même régler la circulation à un carrefour peut se transformer en catastrophe nationale ! L'humour débridé de Cauvin se marie parfaitement au dessin rond et expressif de Kox. Ensemble, ils se délectent à jeter ce pauvre matricule 212 dans des situations toujours plus hilarantes, pour le plus grand bonheur de plusieurs générations de lecteurs. Le saviez-vous ? L'Agent 212 est aussi la série des stars. Pierre Tombal, Malik, Bédu, Jean-Pol et bien d'autres comptent parmi les victimes de ce zélé défenseur de l'ordre. Saurez-vous les retrouver au fil des pages ?

Un sacré numéroQuelle que soit la situation, un bon agent de police doit pouvoir exercer son autorité. Mais lorsqu'il s'agit de l'Agent 212, on peut s'attendre au pire... et toujours rester en dessous de la réalité. Avec lui, un lac gelé se transforme en congélateur. Son initiation au code de la route tourne au véritable règlement de comptes. Un petit avion télécommandé devient une arme meurtrière. Et un banal train fantôme le fait dérailler... Pas de doute, avec un tel numéro, le bon droit et la justice ne sont pas prêts de triompher. Et c'est tant mieux pour la bande dessinée !L'énorme succès du gros nezTransformant chaque gag de Raoul Cauvin en véritable délire visuel, Daniel Kox sublime le genre de la BD dite gros nez en lui donnant de nouvelles lettres de noblesse. Comment ne pas éclater de rire devant les mimiques toujours plus expressives de l'agent ? Comment résister à ses maladresses presque aussi grosses que lui ? Pas étonnant que cette série typiquement familiale rassemble déjà depuis plus de vingt ans toutes les générations de lecteurs de bande dessinée avec un plaisir toujours renouvelé.

L'Agent fait le bonheur !Agent de police, c'est pas une vie ! Ni un métier, d'ailleurs. Plutôt une vocation. Et le célèbre matricule 212 est prêt à tout pour être à la hauteur de sa (noble) mission : se déguiser en kangourou (femelle) pour piéger un mâle en rupture de zoo ; dépanner des hold-upeurs mal garés ; ramener chez lui un chauffard ivre mort conduisant une tondeuse à gazon sur la voie publique... Et, invariablement, chaque mission de notre représentant de l'ordre se transforme en pagaille monstrueuse. Et si la sécurité n'est pas vraiment assurée dans le quartier où il promène ses 150 kilos de bonhomie, l'hilarité, elle, est toujours de mise !Un pic ? Un cap ? Une péninsule ? Non, mieux : du Gros nez !Le Gros nez ne désigne pas seulement l'immense appendice nasal de l'Agent 212. C'est également un genre de BD basé sur des gags de comique de situation servis par un dessin humoristique certes classique mais d'une redoutable efficacité. Avec les catastrophes cataclysmiques qu'il déclenche et les contorsions faciales qui les accompagnent, L'Agent 212 est certainement un des plus beaux fleurons de ce type de bande dessinée. Un public toujours plus nombreux ne s'y trompe pas et fait de la série de Kox et Cauvin un véritable succès de librairie depuis presque trente ans !

Dormez en paix, contribuables, l'ordre et la sécurité vont régner ! Notre cher Agent 212 reprend du service pour mieux s'attaquer aux voleurs, aux manifestants récalcitrants, aux chauffards,... Ce flic au grand coeur (et au gros ventre) reste fidèle à lui-même, toujours aussi gaffeur et bêta. Au repos ou en service, la moindre de ses interventions entraine une cascade de catastrophes. Quelques pages en sa compagnie et vous ne pourrez plus jamais regarder un policier sans avoir envie de vous marrer !

Spécialiste en catastrophesQuelle que soit la situation, un bon agent de police doit pouvoir exercer son autorité. Mais lorsqu'il s'agit de l'Agent 212, on peut s'attendre au pire... et être pourtant encore en dessous de la réalité. Invariablement, chaque mission de notre représentant de l'ordre se transforme en pagaille monstrueuse. Et si la sécurité n'est pas vraiment assurée dans le quartier où il promène ses 150 kilos de bonhomie, l'hilarité, elle, est toujours de mise car le matricule 212 est loin d'avoir épuisé son potentiel de gaffes !Le tandem Kox-Cauvin remet le couvert et nous offre un vingt-sixième album de l'Agent 212, ce flic au grand coeur et à la bedaine rebondie. Une fois encore, ils ne dérogent pas à la règle du mariage des bons mots et du trait efficace. Un pur régal pour les lecteurs de tous âges !

Cambrioleurs et chauffards n'ont qu'à bien se tenir, l'agent 212 ouvre l'oeil et le bon, qu'il se fasse emboutir par sa chère belle-mère au volant de sa propre voiture, ou qu'il se retrouve coincé dans la fosse aux lions grâce au suicidaire de service... Soupe au lait mais pas vache pour deux sous, notre bon Arthur se fourre toujours dans des situations pas possibles, sous l'oeil incrédule de son commissaire, quant à lui abonné à la crise de nerfs !

Rondouillard, naïf et sympathique, l’Agent 212 est la cible de tous les ennuis et de toutes les mésaventures auxquels un agent de police peut se trouver exposé. Délinquants, conducteurs imprudents ou suicidaires obstinés se succèdent, pour la plus grande joie des lecteurs et de ses auteurs, Kox et Cauvin.

Faire la circulation et maintenir l'ordre n'est clairement pas un poste de tout repos, encore moins pour Arthur Delfouille, le maladroit agent 212. Les automobilistes sont agressifs et peu disciplinés, les pompiers prétentieux et condescendants, le commissaire colérique et injuste, le matériel souvent caduc, la météo parfois aride... Malgré tout, les journées qu'il passe à patrouiller dans la rue en uniforme sont des promenades de santé en comparaison de la gestion de son agaçante belle-mère, toujours fourrée chez lui et qu'il lui faut traîner tel un boulet même lorsqu'il est en congé. Avec un plaisir évident, Raoul Cauvin et Daniel Kox continuent, dans ce nouvel album, à mettre en scène leur personnage fétiche, le souvent ridicule mais néanmoins sympathique agent 212, dans cette série devenue classique. Une caricature des petites absurdités de la vie en société, dans la pure tradition franco-belge.

Arthur, l'agent 212, n'a rien d'un super flic et encore moins d'un héros. Il se porterait très bien s'il pouvait passer ses journées à faire la sieste dans son fauteuil avec son chien Kiki, à condition que sa belle-mère ne soit pas dans le coin. Pour retrouver un peu de tranquillité, le commissariat devient un refuge...