Matthieu Blanchin aime à dire qu’il a été élevé à la campagne, au milieu des animaux de la ferme. Pour s’évader, il se plongeait dans la lecture de Tintin, Rahan et plus tard Métal Hurlant. Maintenant encore, il aime relire tous les deux ans les œuvres de Corben ou Franquin. Curieux des nouvelles créations BD, de chorégraphie et de psychanalyse, en dessinant la vie de Calamity Jane, il construit une œuvre intimiste à grand spectacle.