Chez les Fun, tout le monde s’adore et les membres de la famille remercient chaque jour le ciel pour leur bonheur. Le père, Robert Fun, dessinateur d’un strip à succès dans lequel il met en scène sa propre famille et la mère, Marsha, femme au foyer modèle, ont quatre enfants, Robby, Molly, Mikey et J.T. Mais derrière cette façade de bonheur idéal se dissimulent de profondes fêlures. À la mort de la mère de Robert, l’édifice se craquelle et la famille Fun se décompose. Le père devient neurasthénique, la fille aînée a des visions de sa grand-mère décédée et se transforme en dévote, la mère tombe sous l’emprise d’un gourou et le fils aîné, Robby, se fait passer pour son père afin d’assurer les revenus de la famille.Satire extrêmement féroce et dérangeante de la famille idéale, La Famille Fun est aussi une charge violente contre la religion, contre certaines méthodes pédagogiques et contre les gourous du développement personnel... Pour accentuer cette satire, Benjamin Frisch joue sur des contrastes saisissants, entre le dessin coloré et rond des personnages rappelant le style graphique des strips américains des années 1950, et la noirceur des situations auxquelles les membres de la famille vont être confrontés.
La Famille Fun
Chez les Fun, tout le monde s’adore et les membres de la famille remercient chaque jour le ciel pour leur bonheur. Le père, Robert Fun, dessinateur d’un strip à succès dans lequel il met en scène sa propre famille et la mère, Marsha, femme au foyer modèle, ont quatre enfants, Robby, Molly, Mikey et J.T. Mais derrière cette façade de bonheur idéal se dissimulent de profondes fêlures. À la mort de la mère de Robert, l’édifice se craquelle et la famille Fun se décompose. Le père devient neurasthénique, la fille aînée a des visions de sa grand-mère décédée et se transforme en dévote, la mère tombe sous l’emprise d’un gourou et le fils aîné, Robby, se fait passer pour son père afin d’assurer les revenus de la famille.Satire extrêmement féroce et dérangeante de la famille idéale, La Famille Fun est aussi une charge violente contre la religion, contre certaines méthodes pédagogiques et contre les gourous du développement personnel... Pour accentuer cette satire, Benjamin Frisch joue sur des contrastes saisissants, entre le dessin coloré et rond des personnages rappelant le style graphique des strips américains des années 1950, et la noirceur des situations auxquelles les membres de la famille vont être confrontés.
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