Oscar se voit comme un dominateur-né qui aime être entouré de courtisans ou plutôt de souffre-douleur. Accompagné de sa bande de suiveurs, il prépare l’exposition qui imposera à tous l'ampleur de son talent. Oscar est sans pitié. Il a aimé sa voisine, Anna, abusé quelques temps de sa naïveté avant de rompre. Point final de l’histoire, pensait-il. Mais Oscar se trompait, Anna lui réservait quelques surprises. Initialement, "Anna" s’appelait "Hôtel Particulier" et seul le premier tome de ce thriller psychologique était paru aux éditions Soleil. En 2004, La Boîte à Bulles en avait proposé une version intégrale déjà intitulée "Anna", mais celle-ci ne rendait pas grâce au travail d'encrage de Chistophe Bec. En voici donc une version grand format entièrement retravaillée, du lettrage aux scans... L’occasion de découvrir tout le charme et le venin jubilatoire de cet album, le plus intimiste de l’œuvre de Christophe Bec, entièrement réalisé d’après des images tournées pour l’occasion. Une peinture de mœurs aussi saisissante que cruelle et ironique et une plongée dans le milieu de l’art contemporain caustique à souhait. Un microcosme que Stéphane Betbeder connaît bien pour l’avoir fréquenté quelques temps.
Anna
Oscar se voit comme un dominateur-né qui aime être entouré de courtisans ou plutôt de souffre-douleur. Accompagné de sa bande de suiveurs, il prépare l’exposition qui imposera à tous l'ampleur de son talent. Oscar est sans pitié. Il a aimé sa voisine, Anna, abusé quelques temps de sa naïveté avant de rompre. Point final de l’histoire, pensait-il. Mais Oscar se trompait, Anna lui réservait quelques surprises. Initialement, "Anna" s’appelait "Hôtel Particulier" et seul le premier tome de ce thriller psychologique était paru aux éditions Soleil. En 2004, La Boîte à Bulles en avait proposé une version intégrale déjà intitulée "Anna", mais celle-ci ne rendait pas grâce au travail d'encrage de Chistophe Bec. En voici donc une version grand format entièrement retravaillée, du lettrage aux scans... L’occasion de découvrir tout le charme et le venin jubilatoire de cet album, le plus intimiste de l’œuvre de Christophe Bec, entièrement réalisé d’après des images tournées pour l’occasion. Une peinture de mœurs aussi saisissante que cruelle et ironique et une plongée dans le milieu de l’art contemporain caustique à souhait. Un microcosme que Stéphane Betbeder connaît bien pour l’avoir fréquenté quelques temps.
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