Love Me Please est un biopic consacré à Janis Joplin qui retrace, en respectant la chronologie, les moments forts de son parcours depuis l’enfance, au sortir de la seconde Guerre Mondiale, jusqu’à sa mort abrupte fin 1970.C’est l’une des plus fabuleuses aventures musicales qu’ait produites l’Amérique de la seconde moitié du vingtième siècle. Pourtant elle a duré à peine plus de cinq ans.Comment une très jeune femme complexée, toxicomane et pleine de doutes, est devenue en quelques années une icône planétaire de la musique rock ? De l’ombre à la lumière en quatre disques seulement (dont le dernier publié un mois et demi après sa mort tragique), à la faveur d’un mouvement d’émancipation lui aussi planétaire, qui allait consacrer pour longtemps les idéaux et les modes de vie alternatifs issu de la contre-culture et de la génération du flower power. Janis, le vilain petit canard a laissé libre cours à ses impulsions. Nourrie de la soif de liberté de la Beat Generation et de l’aspiration à l’émancipation qui s’exprime au sein de la jeunesse américaine du début des années 60, Janis Joplin part pour San Francisco, alors épicentre de l’innovation culturelle. Elle va y vivre une liberté dont elle aurait à peine osé rêver, s’abandonnant à tous les élans qui la traversent, dépassant sans hésiter tous les tabous de l’époque : bisexualité, alcool, drogues. Non seulement avec délices, mais avec le goût de l’excès auquel l’incite naturellement son caractère spontané et entier.
Janis Joplin
Love Me Please est un biopic consacré à Janis Joplin qui retrace, en respectant la chronologie, les moments forts de son parcours depuis l’enfance, au sortir de la seconde Guerre Mondiale, jusqu’à sa mort abrupte fin 1970.C’est l’une des plus fabuleuses aventures musicales qu’ait produites l’Amérique de la seconde moitié du vingtième siècle. Pourtant elle a duré à peine plus de cinq ans.Comment une très jeune femme complexée, toxicomane et pleine de doutes, est devenue en quelques années une icône planétaire de la musique rock ? De l’ombre à la lumière en quatre disques seulement (dont le dernier publié un mois et demi après sa mort tragique), à la faveur d’un mouvement d’émancipation lui aussi planétaire, qui allait consacrer pour longtemps les idéaux et les modes de vie alternatifs issu de la contre-culture et de la génération du flower power. Janis, le vilain petit canard a laissé libre cours à ses impulsions. Nourrie de la soif de liberté de la Beat Generation et de l’aspiration à l’émancipation qui s’exprime au sein de la jeunesse américaine du début des années 60, Janis Joplin part pour San Francisco, alors épicentre de l’innovation culturelle. Elle va y vivre une liberté dont elle aurait à peine osé rêver, s’abandonnant à tous les élans qui la traversent, dépassant sans hésiter tous les tabous de l’époque : bisexualité, alcool, drogues. Non seulement avec délices, mais avec le goût de l’excès auquel l’incite naturellement son caractère spontané et entier.
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