Balzac les voyait comme la deuxième facette de son œuvre. En 1832, pourtant, l’accueil fut glacial, nous révèle Caroline Delville, doctorante en littérature dans son excellente analyse, Les Cent Contes drolatiques d’Honoré de Balzac : une écriture des limites. Il faut dire que les contes ont “pour thème principal les aléas d’une sexualité grivoise. il y est question de jeunes filles que leur pucelage chatouille, de vieux châtelains impuissants et cocus, de jeunes « coquebins » entreprenants, de...
En lire plus