Franquin avait de la suite dans les idées c’est un fait indéniable. Cet album le prouve une nouvelle fois puisque nous y retrouvons des « running gags » chères à l’auteur tel que le jokari, la vieille guimbarde « à Gaston » ou alors les « mélodieux » instruments du garçon de bureau. Rien de bien nouveau donc mais c’est justement là que le génie de l’auteur frappait fort, dans cette capacité à toujours nous surprendre même avec des situations déjà exploitées maintes fois. Mais que les plus...
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