Ma découverte du premier cycle du Pouvoir des Innocents dans les années 90 reste gravée dans ma mémoire comme une immense claque. Le scénario magistral de Luc Brunschwig et le dessin puissant, nerveux, totalement en phase avec l’histoire, m’avaient saisi dès les premières pages. Ce mélange de polar politique et de drame humain, où chaque personnage semblait hanté par ses propres démons, m’a marqué au fer rouge. Cette série occupera toujours une place particulière dans mon cœur de lecteur, tant...
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