Voilà Manu Larcenet arrivé dans un endroit parfait pour les artistes finis - un asile psychiatrique. Tiens, le titre du triptyque a maintenant un sens… : ) Un sens tragique, car si les blagues ne touchent pas toujours au but, la dépression de l’artiste et l’ambiance de l’asile sont carrément réalistes, et on sent que c’est une œuvre sortie de l’observation attente, et pas seulement de l’imagination. Et pourtant, que c’est beau, le monde sorti du Xanax! (et on dit qu'on ne peut pas trouver de la...
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