Drôle de sensation lorsqu'on lit La Machine qui rêve : celle d'assister à un évènement qui aurait pu changer l'histoire, car cet album devait être celui du passage de la série Spirou vers un graphisme et un ton plus réaliste... Avant que le changement ne soit oublié, effacé, dès l'album suivant. Même si on sent qu'il s'agissait pour Tome et Janry d'un album de transition, destiné à fixer de nouvelles bases à la série, il n'en garde pas moins une aura...
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