Le volume le plus déprimant de la série commence par un constat sinistre : être orphelin n'est pas agréable, même dans le Japon moderne, mais dans la Grèce antique, c'était pratiquement une condamnation à mort. Les souvenirs d'enfance de Démétrios conduisent donc à une discussion philosophique sur la colère et le désespoir inévitables à l'existence, sur la façon de s'en libérer et de les transformer en impulsions positives. Une leçon qui tombe à pic, car de retour dans son village, Démétrios...
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