Vicky, Jenny et Karine sont les meilleures amies du monde. Enfin, c’est ce que s’imagine Karine, la grande bringue trop gentille et trop naïve. Parce que Vicky et Jenny, les deux pestes, prennent un malin plaisir à la rabaisser, à la ridiculiser et à l’humilier. Mais le pire, c’est que Karine n’en est même pas consciente : elle s’obstine à se demander ce qu’elle deviendrait sans elles. Les mystères de l’amitié féminine sont parfois impénétrables...
Dans ce trio infernal, les rôles sont bien identifiés. Vicky est la méchante de service, Jenny l’adorable idiote et Karine la pauvre victime. Les deux premières sont conscientes de leur plastique avantageuse et de l’effet qu’elles produisent sur les garçons. La troisième n’est pas moche, loin de là, mais elle ne sait pas se mettre en valeur et a le tort d’écouter les (mauvais) conseils de ses deux « amies ». Jusqu’au jour où Karine prend une grande résolution : elle décide de changer de look et d’apprendre à dire « Non ». On imagine le désarroi de Vicky et de Jenny : qui leur servira de souffre-douleur, désormais ? Dans cet univers très féminin, les garçons ne sont pas oubliés. Ils sont tour à tour des objets de fantasme comme John John, le beau motard (enfin, on ne sait pas vraiment s’il est beau, il ne retire jamais son casque), des souffre-douleur, des amoureux transis ou, à l’image d’Albin, quelque peu inquiétants.
Dialogues inventifs et mécaniques du gag
On aurait tort de penser que Les Nombrils se situent au niveau... du nombril, justement. Publiée à partir de 2006 par deux auteurs canadiens, la scénariste Maryse Dubuc et le dessinateur Marc Delafontaine (alias Delaf), la série, qui a connu un succès aussi foudroyant que mérité, est tout sauf futile. Elle est servie par des dialogues inventifs, un excellent graphisme, une mécanique du gag efficace et une typologie réussie des personnages. Elle se caractérise aussi par une mise en scène pertinente des relations parfois perverses et cruelles qui se tissent entre les adolescents. Delaf et Dubuc décrivent de manière juste les affres de cette période de la vie où le quotidien n’est pas toujours un long fleuve tranquille (et pas seulement pour Karine). En outre, les auteurs ont su faire évoluer leur univers en abordant, dans le cinquième tome, les rivages du thriller et en montrant qu’un personnage recèle parfois d’étranges zones d’ombre. On espère simplement que Karine et ses deux insupportables copines ne grandiront pas trop vite, histoire de profiter encore de leur gentillesse (merci, Karine), de leur méchanceté (merci, Vicky) et de leur bêtise (merci, Jenny)...
T1 Les Nombrils
Si vous les aimez autant qu'elles s'aiment, vous allez les adorer !Jenny et Vicky sont les pires chipies que la Terre ait portées. Elles se prennent pour le nombril du monde et pour peu, elles le seraient vraiment. Avec leurs vêtements sexy, leur maquillage provocateur et leur coiffure toujours impeccable, partout où elles vont, les regards sont hypnotisés, la musique s'arrête. On ne voit et on n'entend plus qu'elles. Et heureusement ! Parce que Jenny et Vicky sont prêtes à tout pour être le centre d'attraction. Leur amie, la trop grande Karine, l'apprend à ses dépens lorsqu'un certain Dan s'intéresse à elle. Jenny et Vicky ne sont pas du genre à accepter la compétition ! Les lettres de Dan n'arriveront jamais à destination, ses invitations tomberont toutes mystérieusement à l'eau. Pauvre Karine ! Dans un monde qui privilégie l'enveloppe plutôt que son contenu, elle ne peut qu'être le souffre-douleur des deux autres. Et si un jour Karine s'émancipait ? Qu'adviendrait-il de ce trio dépareillé ? L'amitié survivrait-t-elle ?Le 12 avril 2007, le Prix Bédéis Causa - Albéric Bourgeois a été décerné à Delaf et Dubuc pour le premier tome de la série Les Nombrils, "Pour qui tu te prends ?".
T1 Les Nombrils
Cette édition spéciale Anniversaire des 5 ans d'izneo comprend en bonus un cahier supplémentaire.
T2 Les Nombrils
Elles sont jeunes, belles... et vaches !Jenny et Vicky sont les pires chipies que la Terre ait portées. Avec leurs vêtements sexy et leur maquillage provocateur, elles se prennent pour le nombril du monde et sont prêtes à tout pour être le centre d'attraction. Quand elles apprennent que leur amie Karine, gentille mais peu gâtée par la nature, s'apprête à sortir avec le beau Dan, elles décident de réagir et vont faire preuve d'une imagination débordante pour saboter l'idylle naissante. Non pas parce qu'elles ne supportent pas la concurrence (Karine est trop moche pour leur faire de l'ombre, voyons !) mais pour sauver leur belle amitié. Découvrez les aventures cruelles et hilarantes de ces copines inséparables ! Si vous les aimez autant qu'elles s'aiment, vous allez les adorer !Après un premier tome très remarqué, Delaf et Dubuc reviennent avec leurs trois héroïnes super décapantes. À travers leur série hilarante et très méchante, les deux auteurs québécois nous dressent un portrait au vitriol d'une certaine adolescence où tous les coups sont permis. Dans le présent album, nous apprenons à connaître un peu mieux nos trois « Nombrils » : doutes et complexe d'infériorité pour Karine ; grande soeur malveillante et cours d'anglais intensif pour Vicky ; mère dépressive et famille « quart-monde » pour Jenny. Car si ces deux dernières sont aussi cruelles et méchantes avec leur meilleure amie, elles ont bien des circonstances atténuantes ! Une série au graphisme moderne et efficace, aux couleurs pétantes et au ton résolument acide où on ne prend pas de pincettes pour parler des préoccupations des ados.
T3 Les Nombrils
Jeunes, belles ... et vaches !Jenny, Vicky (les deux pestes top canons) et Karine (la gentille grande bringue) sont de retour ! Au menu de ce troisième album : des coups bas, quelques beaux gars, de la trahison en veux-tu en voilà, bref de l'amour haine et tout le tralala, des oh et des ah et puis aussi un scoop final à en rester baba ! Pas de doute, avec les Nombrils, on ne s'ennuie pas !Après deux tomes remarquables et remarqués, Delaf et Dubuc reviennent avec leurs trois héroïnes super décapantes. À travers leur série hilarante et très méchante, les deux auteurs québécois nous dressent un portrait au vitriol d'une certaine adolescence où tous les coups sont permis. Une série au graphisme moderne et efficace, aux couleurs pétantes et au ton résolument acide où l'on ne prend pas de pincettes pour parler des préoccupations des ados. De plus, en véritables architectes du gag, Delaf et Dubuc nous livrent des histoires piquantes qui, lorsqu'elles sont lues dans la continuité d'un album, révèlent encore plus la richesse de l'univers et l'intelligence avec laquelle les différents éléments sont amenés. La lecture de ce troisième tome ne laissera aucun lecteur indifférent !
T4 Les Nombrils
Jeunes, belles ... et trash !Karine est désespérée : Dan l'a quittée pour suivre Mélanie en Afrique. Et Jenny et Vicky sont inconsolables depuis la disparition de John John (et surtout de sa merveilleuse moto). Mais leurs épreuves ne sont pas terminées car Mélanie est de retour et n'a pas fini de les faire souffrir. Après avoir volé le mec de Karine, elle s'attaque à ce que Jenny et Vicky ont de plus précieux : leur sacro-sainte popularité auprès de la gent masculine ! Bref, cette fille trop parfaite aux manigances vicieuses va se faire trois ennemies acharnées... et que la meilleure gagne !Jenny, Vicky et Karine reviennent et, cette fois, elles en ont marre d'être gentilles ! Un nouveau portrait au vitriol de l'adolescence où tous les coups (surtout les bas) sont permis. Une série hilarante et très méchante. Suivez l'actu des Nombrils sur leur fan page FaceBook ! - "Les filles sont encore plus cruelles et mordantes dans ce tome totalement hilarant." - Olivier Mimran (20 Minutes) - "Un album piquant, détonnant, un régal pour les ados et leurs parents!" - Jean-Philippe Lefèvre (Métro) - "Un ton mordant, cruel et hilarant" - Sophie Le Saint (France 2 JT de 13h) - "Méchamment drôle" - France Cavalié (Télé 7 Jours)
T5 Les Nombrils
Marre d'être gentille et de se faire avoir par tout le monde !Karine a pris une grande décision : elle allait CHANGER. Et d'abord de look : le pantalon rose et les barrettes dans les cheveux font place au look gothique et au noir hyper classe. Ensuite de caractère : Karine décide d'apprendre à dire non. Il y aura évidemment des rechutes mais elle peut compter sur Albin, son nouveau petit ami, pour l'aider à tenir ses bonnes résolutions et à prendre confiance en elle. À l'école, tout le monde trouve la nouvelle Karine, sexy et sûre d'elle, beaucoup mieux que l'ancienne. Tout le monde sauf trois personnes : Dan, son ex, qui ne reconnaît par la fille qu'il a aimée ; Jenny et Vicky, ses deux meilleures amies qui craignent, à raison, de voir leur esclave et faire-valoir favori se détacher d'elles. Jenny, Vicky et Dan vont donc enquêter sur Albin, persuadé qu'il n'est pas un petit ami recommandable pour Karine et qu'il cache des secrets inavouables. Leurs découvertes vont leur glacer le sang ! Mais qui ment, qui prétend être ce qu'il n'est pas et qui veut vraiment le bien de Karine ? La réponse vous attend (peut-être) au bout de cet épisode haletant rempli de coups de théâtre.
T6 Les Nombrils
Pour Vicky, l'été s'annonce plutôt bien : vacances, soleil et plage. Mais surtout, surtout, elle a un nouveau voisin hyper-canon. Et pour une fois, elle sent qu'elle a sa chance. Elle en oublierait presque que Jenny lui fait toujours autant d'ombre quand il s'agit de draguer des surfeurs musclés ou que Karine est bien trop occupée à répéter avec le groupe de musique d'Albin pour passer du temps avec elle... Et puis, catastrophe : dénoncée pour tricherie par un camarade de classe, Vicky se voit obligée par son père d'intégrer un camp d'anglais. Elle laisse ainsi le champ libre à Rebecca, sa grande soeur, qui s'intéresse également de très près au beau James. Vicky va passer d'atroces semaines dans ce camp où la seule fille de son âge est la soeur de James, Mégane, une insupportable peste gothique. Pour sa première grande histoire d'amour, Vicky pouvait rêver mieux. Sans compter qu'un tueur en série rôde toujours dans la chaleur de la nuit...
T7 Les Nombrils
Pour Vicky, le bonheur est total : ses parents la préfèrent enfin (!) à son insupportable grande soeur Rebecca, elle sort avec James, beau jeune homme promis au plus bel avenir, et le barbecue familial de fin d'été lui permet d'afficher son insolente réussite à la face de tous les voisins. Quant à Jenny, elle connaît un double bonheur : avec le musculeux Jean-Franky, elle a les tablettes de chocolat ; avec le gentil Hugo, elle a les attentions de chaque instant. Karine, elle, a une nouvelle passion et ce n'est pas un garçon : son groupe de musique vient d'être signé par un gros producteur, et son seul léger souci est de remonter le moral à Albin, leader de la formation, qui est en pleine dépression depuis les événements tragiques de l'été (et du tome 6). Mais la vie est cruelle et le bonheur fragile, surtout quand on triche avec ses propres sentiments. Heureusement qu'il reste l'amitié...
T8 Les Nombrils
Célébrité, foules en délire, studios d'enregistrement... c'est ça maintenant, la vie quotidienne de Karine. Il est loin le temps où tout le monde la considérait comme une victime ! Mais devenir une vedette ne vient pas sans son lot de difficultés... Jenny et Vicky, de leur côté, vivent des moments plus tumultueux. La famille de Vicky a explosé, et son père a emmenagé avec... la mère de Jenny ! Les ex-amies devenues ennemies vont donc devoir partager la même chambre. Vicky en veut à Jenny qu'elle tient pour responsable de la situation, alors que Jenny a la tête ailleurs : elle est secrètement amoureuse d'Hugo. Une reine de beauté comme elle, amoureuse d'un gros moche, c'est impensable ! L'heure des décisions a sonné pour les trois filles, et elles pèseront lourd pour leur avenir : sauront-elles faire les bons choix ? « Nous sommes ce que nous choisissons de devenir » découvriront (parfois à leurs dépens) les héroïnes de la série dans ce huitième tome.
Karine, la fille trop gentille et naïve, est méprisée par ses « amies » : Jenny, la belle un peu bête, et Vicky, la manipulatrice. Voici le trio d’héroïnes de cet album ! Dubuc et Delaf, deux auteurs Québécois, donnent un bon coup de pied à la bande dessinée humoristique. Au lieu de proposer des gags d’une ou plusieurs pages, qui n’ont en général que peu de rapport entre eux, les auteurs décident de faire une sitcom en bande dessinée.... En lire plus