Délirant et sans limites, Happy Hour à Mossoul est entièrement basé sur des faits réels. Après avoir rempli (et choqué !) tous les Zéniths de France avec son One Man Show " vends 2 pièces à Beyrouth ", Jérémy Ferrari repart au front avec son livre Happy Hour à Mossoul. Bientôt, vous saurez pourquoi les généraux allemands surnommaient Charles De Gaulle : " Notre grand collègue " alors que Churchill le comparait à " un lama femelle surpris dans son bain. ". Vous découvrirez les miracles de la colonisation, qui donnèrent aux français la chance d'approcher dans les zoos des girafes et des africains. Vous lirez aussi l'histoire d'Onoda, ce soldat japonais qui continua la seconde guerre mondiale tout seul pendant 30 ans. Vous honorerez les terroristes ratés qui n'ont pas marqué l'histoire. Vous chanterez l'invasion de la Pologne avec Claude François et voyagerez en Indochine avec l'empereur jaune qui voulait devenir rouge. Et quand vous saurez qu'un pigeon a été mieux décoré que les tirailleurs sénégalais, cela achèvera de vous convaincre qu'à Paris comme à Pyongyang, la guerre : " c'est décidément trop chouette ! "
Happy Hour à Mossoul
Délirant et sans limites, Happy Hour à Mossoul est entièrement basé sur des faits réels. Après avoir rempli (et choqué !) tous les Zéniths de France avec son One Man Show " vends 2 pièces à Beyrouth ", Jérémy Ferrari repart au front avec son livre Happy Hour à Mossoul. Bientôt, vous saurez pourquoi les généraux allemands surnommaient Charles De Gaulle : " Notre grand collègue " alors que Churchill le comparait à " un lama femelle surpris dans son bain. ". Vous découvrirez les miracles de la colonisation, qui donnèrent aux français la chance d'approcher dans les zoos des girafes et des africains. Vous lirez aussi l'histoire d'Onoda, ce soldat japonais qui continua la seconde guerre mondiale tout seul pendant 30 ans. Vous honorerez les terroristes ratés qui n'ont pas marqué l'histoire. Vous chanterez l'invasion de la Pologne avec Claude François et voyagerez en Indochine avec l'empereur jaune qui voulait devenir rouge. Et quand vous saurez qu'un pigeon a été mieux décoré que les tirailleurs sénégalais, cela achèvera de vous convaincre qu'à Paris comme à Pyongyang, la guerre : " c'est décidément trop chouette ! "
Vous devez être identifié pour donner votre commentaire sur cette série.