Lorsque le chat le plus fainéant et sarcastique du monde de la BD nous revient, c'est toujours pour le meilleur et pour le rire. En effet, Jim Davis réussit une nouvelle fois l'exploit d'utiliser les mêmes ficelles que depuis le premier album tout en réussissant à nous surprendre. Nous retrouvons donc dans ce soixante-huitième tome (tout de même), les gags sur les araignées, les fameux panneaux "attention au chien" et autres blagues ayant pour cible le pauvre John. Et pourtant, ça fonctionne...
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