« Dr Fernando PAIS, Medico Geral, 3e Piso », voici ce qu’on peut lire sur la plaque de Fernando, médecin généraliste entre deux âges, décidé à faire son boulot avec empathie et disposé à soigner tous les patients, qu’ils soient communistes, révolutionnaires ou inspecteurs de la police politique. Car en 1968, à Lisbonne, le vieux dictateur Salazar a beau être sur le départ, le désir d’une vie tranquille impose toujours à chacun de parler bas et de regarder par terre pour ne pas être impliqué...
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