Et si une partie de l’argent volé lors du casse de Strasbourg avait servi à financer des partis politiques ? C’est François Colcombet, président du syndicat de la magistrature, qui soulève au détour d’une conversation dans une émission de télévision cette inquiétude. Sommé de s’expliquer, il ne donne guère plus d’éléments concrets. Rapidement, il est muté à Paris et préfère… se taire. Le tout nouveau gouvernement du jeune président Giscard, tout juste élu, préfère ne pas faire de commentaire...
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