Résumé

Écrit en 1793, Les Aphrodites est, à l’origine, un de ces romans « qu'on ne lit que d'une main» dont l’univers est une joyeuse débauche. En un siècle où les sociétés secrètes abondent, il fut un groupe de libertins, près de Paris, qu'on nommait « Les Aphrodites». L'auteur y place l'intrigue de son marivaudage et décrit ses contemporains en véritable humaniste: les hommes sont jugés sur leur calibre et leurs performances, les femmes sur leurs qualités et leur expérience. Libertin donc, mais surtout hédoniste car Nerciat est aux antipodes de la morgue du marquis de Sade. Le Chevalier vient retrouver Mme Durut, sa marraine en matière de plaisir, à l'hôtel de rencontre pour nobles dont elle est l'intendante. Les retrouvailles, après quatre années, sont fougueuses. Comme la Duchesse se morfond dans l'attente du comte, en retard au rendez- vous donné, Mme Durut lui propose, après les services d'un jeune "jockey", de rencontrer le Chevalier qu'elle fait passer pour son neveu. Le retardataire sera de son côté retenu comme il se doit, à son arrivée, par l'adorable Célestine, une fringuante espiègle, à laquelle il ne saura résister. La Duchesse reprend ses esprits et oubliant soudain le plaisir obtenu avec celui qu'elle tient encore pour un roturier, crie au viol et menace de suicide. Mme Durut venue défendre son champion, est suivie par le Comte jaloux qui aussitôt exige des réparations. Elle doit alors leur révéler la condition d'un Chevalier déjà prêt à en découdre. Célestine vient enfin s'ajouter au tableau pour apaiser les passions, en rappelant au Comte ses propres incartades. Les cinq personnages se retrouvent autour d’un dîner de réconciliation qui tourne vite à la bacchanale. On l’aura compris, Les Aphrodites est une sorte de vaudeville, une histoire de placards où la langue fine du 18e siècle est mise en valeur par le dessin de grande qualité d’Emmanuel Murzeau.

Trier par : Ancien

T1 Les Aphrodites

(5)

Écrit en 1793, Les Aphrodites est, à l’origine, un de ces romans « qu'on ne lit que d'une main» dont l’univers est une joyeuse débauche. En un siècle où les sociétés secrètes abondent, il fut un groupe de libertins, près de Paris, qu'on nommait « Les Aphrodites». L'auteur y place l'intrigue de son marivaudage et décrit ses contemporains en véritable humaniste: les hommes sont jugés sur leur calibre et leurs performances, les femmes sur leurs qualités et leur expérience. Libertin donc, mais surtout hédoniste car Nerciat est aux antipodes de la morgue du marquis de Sade. Le Chevalier vient retrouver Mme Durut, sa marraine en matière de plaisir, à l'hôtel de rencontre pour nobles dont elle est l'intendante. Les retrouvailles, après quatre années, sont fougueuses. Comme la Duchesse se morfond dans l'attente du comte, en retard au rendez- vous donné, Mme Durut lui propose, après les services d'un jeune "jockey", de rencontrer le Chevalier qu'elle fait passer pour son neveu. Le retardataire sera de son côté retenu comme il se doit, à son arrivée, par l'adorable Célestine, une fringuante espiègle, à laquelle il ne saura résister. La Duchesse reprend ses esprits et oubliant soudain le plaisir obtenu avec celui qu'elle tient encore pour un roturier, crie au viol et menace de suicide. Mme Durut venue défendre son champion, est suivie par le Comte jaloux qui aussitôt exige des réparations. Elle doit alors leur révéler la condition d'un Chevalier déjà prêt à en découdre. Célestine vient enfin s'ajouter au tableau pour apaiser les passions, en rappelant au Comte ses propres incartades. Les cinq personnages se retrouvent autour d’un dîner de réconciliation qui tourne vite à la bacchanale. On l’aura compris, Les Aphrodites est une sorte de vaudeville, une histoire de placards où la langue fine du 18e siècle est mise en valeur par le dessin de grande qualité d’Emmanuel Murzeau.

T2 Les Aphrodites

(3)

Écrit en 1793, Les Aphrodites est, à l’origine, un de ces romans « qu'on ne lit que d'une main» dont l’univers est une joyeuse débauche. En un siècle où les sociétés secrètes abondent, il fut un groupe de libertins, près de Paris, qu'on nommait « Les Aphrodites». Après Intrigante Agathe, ce second tome des Aphrodites nous replonge dans l'univers libertin d'une cette société secrète en marge du tumulte politique de la révolution. On y retrouvera les personnages principaux de la première partie, avec quelques nouveaux acteurs pour s'adonner sans retenue aux plaisirs de l'intrigue, du mensonge, du sophisme et naturellement du sexe. On l’aura compris, Les Aphrodites est une sorte de vaudeville, une histoire de placards où la langue fine du 18e siècle est mise en valeur par le dessin de grande qualité d’Emmanuel Murzeau.

T3 Les Aphrodites

(1)

Écrit en 1793, Les Aphrodites est, à l’origine, un de ces romans dont l’univers est une joyeuse débauche. En un siècle où les sociétés secrètes abondent, il fut un groupe de libertins, près de Paris, qu'on nommait «Les Aphrodites». L'auteur y place l'intrigue de son marivaudage et décrit ses contemporains en véritable humaniste: les hommes sont jugés sur leur calibre et leurs performances, les femmes sur leurs qualités et leur expérience. Libertin donc, mais surtout hédoniste car Nerciat est aux antipodes de la morgue du marquis de Sade. Après Intrigante Agathe et Le masque aveugle, ce troisième tome des Aphrodites nous replonge dans l'univers libertin d'une cette société secrète en marge du tumulte politique de la révolution. On y retrouvera les personnages principaux de la première partie, avec quelques nouveaux acteurs pour s'adonner sans retenue aux plaisirs de l'intrigue, du mensonge, du sophisme et naturellement du sexe.

T4 Les Aphrodites

(1)

Écrit en 1793, Les Aphrodites est, à l’origine, un de ces romans dont l’univers est une joyeuse débauche. Libertin donc, mais surtout hédoniste car Nerciat est aux antipodes de la morgue du marquis de Sade. Après Intrigante Agathe, Le masque aveugle et Eulalie dans le manège, ce quatrième et dernier tome des Aphrodites nous replonge dans l'univers libertin d'une société secrète en marge du tumulte politique de la révolution. Une sorte de vaudeville, une histoire de placards où la langue du 18e siècle est mise en valeur par le dessin de grande qualité d’Emmanuel Murzeau.

0 commentaire

icon-comment Vous devez être identifié pour donner votre commentaire sur cette série.