Résumé

Belzeba est la fille de Satan et d'une mortelle. Éduquée par le Maître des Enfers et ses diablesses, elle est chargée de mettre un terme à la chasse aux sorcières qu’entreprend Kant, le souverain de Norvège… Parmi les héroïnes de bande dessinée sexy italienne qui peuplaient les rêves des lecteurs dans les années soixante-dix, il y avait Belzeba, dessinée par le génial Stelio Fenzo et écrit par le malicieux Paolo Trivellato. Tous deux se sont rendus célèbres en France avec Jungla « la Vierge africaine », une jolie tarzane qui protège la faune et les bons sauvages africains de la cupidité de méchants Blancs, mais bizarrement leur Belzeba n’est pas parue en France. Pire, une Belzeba blonde, produit par Sandro Angiolini apparue sur les étals des maisons de la presse en 1977… Publiée en Italie dès 1972, Belzeba, l’originale, est devenue un mythe introuvable. Malgré la censure ferme de l’époque, Fenzo a su avec finesse jouer au chat et à la souris avec la Commission pour produire une BD sexy au trait raffiné. Un superbe album culte destiné aux férus de bandes dessinées italiennes comme aux collectionneurs avertis.

Trier par : Ancien

Belzeba, la fille de Satan

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Belzeba est la fille de Satan et d'une mortelle. Éduquée par le Maître des Enfers et ses diablesses, elle est chargée de mettre un terme à la chasse aux sorcières qu’entreprend Kant, le souverain de Norvège… Parmi les héroïnes de bande dessinée sexy italienne qui peuplaient les rêves des lecteurs dans les années soixante-dix, il y avait Belzeba, dessinée par le génial Stelio Fenzo et écrit par le malicieux Paolo Trivellato. Tous deux se sont rendus célèbres en France avec Jungla « la Vierge africaine », une jolie tarzane qui protège la faune et les bons sauvages africains de la cupidité de méchants Blancs, mais bizarrement leur Belzeba n’est pas parue en France. Pire, une Belzeba blonde, produit par Sandro Angiolini apparue sur les étals des maisons de la presse en 1977… Publiée en Italie dès 1972, Belzeba, l’originale, est devenue un mythe introuvable. Malgré la censure ferme de l’époque, Fenzo a su avec finesse jouer au chat et à la souris avec la Commission pour produire une BD sexy au trait raffiné. Un superbe album culte destiné aux férus de bandes dessinées italiennes comme aux collectionneurs avertis.

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